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Mizrahim, c’est le nom que donnent les israéliens aux juifs venus d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient, victimes, dès leur arrivée sur la Terre Promise, d’un système discriminatoire qui fait d’eux des citoyens de seconde zone.
Iels s’appellent, Anne-Charlotte, Joohee, Céline, Niyongira, Mathieu. Iels ont entre 25 et 52 ans, sont originaires du Brésil, du Sri Lanka, du Rwanda, de Corée du Sud ou d’Australie. Iels partagent une identité : celle de personnes adoptées.
À la fin des années 60, la journaliste américaine Linda Lipnack Kuehl collecte 200 heures d'interviews afin d'écrire la biographie de la légendaire Billie Holiday. Mais elle disparaît prématurément, sans avoir pu finir son livre. Avec les bandes qu'elle a laissées, James Erskine a recomposé la biographie de Billie Holliday, sous forme de documentaire.
Dans les années 70, l'Angleterre fait face à une montée de l'extrême-droite. Red Saunders, qui a travaillé dans un théâtre de militants radicaux, crée Rock Against Racism, un groupe qui promeut la solidarité raciale sur la scène punk britannique.
Un an après la mort d’Alton Sterling, une chronique de la communauté Afro-américaine de Baton Rouge en Louisiane, durant l’été 2017, quand une série de meurtres violents agite le pays. Une réflexion sur la question raciale, un portait intime de celles et ceux qui luttent pour la justice, la dignité et la survie dans un pays qui les maintient à la marge.
En août 2016, Rio de Janeiro accueille les Jeux olympiques d'été. À quelques pas du stade Maracanã, une centaine de familles miséreuses tentent de survivre dans un immeuble désaffecté contrôlé par des narcotrafiquants.
Ouvrir La Voix est un documentaire sur les femmes noires issues de l'histoire coloniale européenne en Afrique et aux Antilles. En tant que femmes noires, elles font l'expérience de la différence deux fois, tributaires de clichés spécifiques liés aux identités "femme" et "noire".
En Birmanie, le « Vénérable W. » est un moine bouddhiste très influent. Partir à sa rencontre, c’est se retrouver au cœur du racisme quotidien, et observer comment l'islamophobie et le discours haineux se transforment en violence et en destruction...
À travers les propos et les écrits de l’écrivain noir américain James Baldwin, Raoul Peck propose un film qui revisite les luttes sociales et politiques des Afro-Américains au cours de ces dernières décennies. Y sont racontés les assassinats de Martin Luther King Jr, Medgar Evers, membre de la National Association for the Advancement of Colored People (NAACP) et Malcolm X.
Régis Sauder revient dans le pavillon de son enfance à Forbach. Il y a 30 ans, il a fui cette ville pour se construire contre la violence et dans la honte de son milieu. Entre démons de l’extrémisme et déterminisme social, comment vivent ceux qui sont restés ? Ensemble, ils tissent mémoires individuelles et collectives pour interroger l’avenir à l’heure où la peur semble plus forte que jamais.
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes et les questionne. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes # En parallèle de ce documentaire (ici, la version sortie en salles, 2h), vous retrouverez en vod sur Universciné la version intégrale en 3 épisodes (1h20, 1h10, 1h14)
"Le colonialisme n'est pas une machine à penser, n'est pas un corps doué de raison. Il est la violence à l'état de nature et ne peut s'incliner que devant une plus grande violence." A partir des textes de Frantz Fanon et d'images d'archives tournées par le Suède, alors neutre, le film revient sur la décolonisation de l'Afrique et la lutte des peuples en général pour leur liberté.
Retour à Détroit après 25 ans d’absence. A travers une enquête personnelle, Steve Faigenbaum nous dévoile les racines de la plus grosse faillite d’une cité américaine. Une histoire qui nous rappelle que nos villes ne sont pas immortelles…
Une enquête inédite à la rencontre des œuvres qui furent réalisées clandestinement dans les camps nazis. Le film dialogue avec les rares artistes déportés encore vivants et avec les conservateurs de ces œuvres. C'est une quête sensible entre visages, corps et paysages, pour interroger l’idée de beauté et éprouver ce qu’est l’honneur d’un artiste.
Durant sa jeunesse, Angela Davis est profondément marquée par son expérience du racisme, des humiliations de la ségrégation raciale et du climat de violence qui règne autour d’elle. Devenue un symbole de la lutte contre toutes les formes d’oppression : raciale, politique, sociale et sexuelle, Angela Davis incarne, dans les années 70, le " Power to People ".
Dans les bars de Tel-Aviv, des Juifs, des Arabes, tous citoyens d’un même pays, Israël. Une simple question les surprend tous. Être ensemble ?
Une évocation de la lutte menée par les Black Panthers dans l'Amérique des années 1960 et 1970 .
Ce documentaire retrace l'évolution du mouvement Black Power de 1967 à 1975 au sein de la communauté noire. Le film associe musique et reportages (des rushes en 16mm restés au fond d'un placard de la télévision suédoise pendant plus de trente ans), ainsi que des interviews de différents artistes, activistes ou musiciens qui sont des piliers de la culture afro-américaine.
Tourné clandestinement, censuré, sorti 30 ans après sa réalisation... ce documentaire rare rappelle comment la manifestation pacifique organisée à Paris le 17 octobre 1961, pour protester contre le couvre-feu imposé aux Algériens par le Préfet de Paris, Maurice Papon, a été réprimée dans le sang. Un bilan accablant pour la police française.
A Rome en 2001, face à l'intolérance qui monte dans leur quartier, leur ville et dans tout le pays, Mario Tronco, compositeur, et Agostino Ferrente, documentariste, s'attellent à un projet fou : rassembler des musiciens du monde entier dans un même orchestre et dans un même but, celui de sauver l'espace culturel de la Piazza Vittorio et son Cinéma Apollo, voué à devenir une salle de bingo...
Au massacre des Indiens d'Amérique succéda leur "assimiliation" par le gouvernement canadien, dans les années 60. Les enfants furent enlevés à leur famille et placés dans des pensionnats religieux ou des familles d'accueil. Sally, quarante ans après, revient parcourir en camping-car ces terres du Yukon où elle a grandi, coupée de ses racines... Un voyage aux souvenirs de ténèbres.
Le portrait de Bouda, jeune danseur de 30 ans, victime de la loi dite de "double peine", aujourd'hui clandestin à vie. Une épopée dansée et rappée, scratchée de "graffs" pour en bousculer ses images et appeler la France à se regarder en face.
Les Indiens que les Anglais ne réussirent pas a soumettre furent appelés "nés criminels" et parqués dans des camps. Ce film raconte l'histoire d'une famille. Les grands-parents, Hira Bai et Serjian, ont grandi dans la jungle. C'est là que vivaient leurs tribus. Film clandestin, documentaire romanesque : comment vivre quand on est "condamné" d'avance ?
Trois réalisateurs remontent à l’origine des clichés racistes afin de les questionner et mieux les démonter. Ils confrontent leurs singularités à des discours antisémites, xénophobes et racistes tenus par des militants, des politiques, ou des éditorialistes. De ces échanges ressort toute la contradiction de ces dérives idéologiques, en passe d’être banalisées. Episode 1 : Les Arabes
En 2002, J.D. charge sa carabine, parcourt Grande-Synthe et assassine un jeune Maghrébin. Plus de dix ans après les faits, le film suit la route empruntée par le tueur et confronte la ville et ses métamorphoses à la voix de J.D., reconstituée d’après le dossier d’instruction de son procès. Ce film a reçu le Prix de L'institut français - Louis Marcorelles au Festival Cinéma du Réel 2015.
Jean-René, émigré et ancien ouvrier, raconte son histoire à sa fille. Son récit nous dévoile des rêves et des douleurs mystérieuses qui trouvent leurs racines dans les blessures de l'histoire coloniale française.
Au départ, Marc Scialom aurait dû réaliser "Le Citronnier", l'histoire d'une rencontre, à Marseille entre un jeune Marocain et une juive tunisienne. Mais la mort de Mohammed, qui devait incarner le jeune homme, interrompt brusquement le projet. Un autre film reste à faire : celui qui raconte le désarroi du réalisateur.
Claude Lanzmann a rencontré Maurice Rossel en 1979 lors du tournage de Shoah. Son interlocuteur fut le seul délégué du Comité International de la Croix Rouge à Berlin amené à visiter dès 1943 le camp d’extermination d’Auschwitz. Il inspecta aussi le «ghetto modèle» de Theresienstadt en juin 1944. Un film unique dans les annales de la Seconde Guerre mondiale.
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